» Du point de vue de l’analyse sémantique,  l’on constate qu’étant entendu que le segment « c’est une indisposition/adhâ » est la réponse directe à la question évoquée : « ils t’interrogent quant aux règles » il est déterminant quant à la qualification des dites règles. Comme en S5.V6, l’on retrouve toutefois la mention de la purification au sens moral, sauf qu’à l’évidence le pluriel muṭahhirîn/ceux qui se purifient concerne ici non pas les femmes – qui n’ont pas à se purifier d’un état d’impureté que le Coran ne leur attribue pas – mais les hommes. _ Parmi les règles concernant la femme en période de mentruation est qu'il lui est interdit d'éffectuer le At-Tawâf autour de la Ka'ba, elle ne doit pas lire le Coran, elle ne peut s'assoire dans la mosquée et son mari ne peut avoir de rapports sexuels qu'après son sang se soit arrété et qu'elle fait un Ghrousl ( 3 ). c- Toucher et lire le Coran lors des menstrues. En effet, ce dernier va commenter lui-même le sens de la forme V iṭṭahhara en un contexte rigoureusement identique : « Ô croyants ! En particulier, l’on notera que le sang animal n’y a pas été déclaré impur et qu’il ne s’agit donc pas de la raison justifiant l’interdiction de le consommer. Le maximum des menstrues est de quinze jours avec leurs nuits, c'est-à-dire que si l'écoulement du sang se prolonge pendant quinze jours, toute cette durée est considérée comme période de menstrues. Selon le Coran, rien n’est impur, ni de principe ni de fait, rien  chez l’homme comme chez la femme n’est impur, il n’y a jamais d’état d’impureté, ni intrinsèque ni rituelle ni légale. Par ailleurs le corps de la femme qui a les règles est pur, ainsi que sa transpiration et ses larmes et sa salive et il n’est pas déconseillé de côtoyer une femme qui a les règles [contrairement à ce que disent certains non-croyants]. En voici la traduction standard : « Et ils t’interrogent sur la menstruation des femmes. … [21] Ce faisant, elle a dévié l’objectif du Coran  consistant à réfuter les antiques croyances relatives à l’impureté, la pureté et le sacré, au profit des notions coraniques de propreté physique et de pureté spirituelle. Dans le cas où la femme a les menstrues ou les lochies, il n'est pas permis de la divorcer. 1979. La femme qui a ses menstrues ou ses lochies doit attendre la fin de celles-ci pour rattraper son jeûne, mais ne doit pas rattraper ses prières, car Aïcha, C’est donc d’un point de vue théologique que notre réflexion fait sens : que signifient l’impureté et le fait d’être impur ? L’origine de cette exclusion est encore le judaïsme pour qui nul ne pénètre dans le Temple s’il est en état d’impureté[20] et cette interdiction fut étendue par la suite aux synagogues et,  par imitation, il en fut de même pour les églises dans le christianisme jusqu’à peu et, à leur suite, l’Islam ne manqua pas là l’occasion d’ostraciser et inférioriser les femmes. Il lui est un devoir de le rattraper. – Concernant l’impureté du vin/khamr, et plus largement celle de l’alcool, avec des divergences sur ce dernier point, le verset mis en référence est le suivant : « Ô croyants ! 2– Concernant les impuretés rituelles, le verset principal est en rapport avec les règles et l’état d’impureté que l’on suppose alors aux femmes. « Mais ce qui sort de la bouche vient du cœur, et c’est ce qui souille l’homme », Matthieu ; XV, 18. Aussi, la femme qui a eu ses menstrues ou ses lochies n'a pas à rattraper ses prières. 1.De prier 2.De prendre le Muss-haf Et tous les autres points que l'on avait cité. [4] En effet, nous avons largement démontré que pour le Coran les hommes et les femmes sont égaux sur tous les plans : voir : Égalité homme femme selon le Coran et en Islam. Pour nous contacter ou poser des questions sur la religion musulmane ou faire une demande de cours gratuit de science islamique, veuillez nous envoyer un mail à site.islam.ms@gmail.com, Pour nous contacter à travers Telegram: https://t.me/islam_ms, Cours gratuit de science islamique, langue arabe et TajwÄ«d en direct tous les dimanches à 12h (Paris) sur notre chaîne YouTube. À force de les voir revenir tous les mois, les règles, on les connait. - Dis: "C'est un mal. [1] Parmi les choses impures, le cas du sang est symboliquement intéressant puisque, offert aux divinités il est pur, mais, s’écoulant de l’être humain, il serait impur. Il lui est également interdit de traverser une mosquée lorsqu’elle craint de la salir, de faire une purification des Hadath et un jeûne. Les savants de … Un des grands risques que peuvent connaître les couples pendant la période de menstrues, est de mettre leur sexualité de côté le temps que les règles s’arrêtent. Information utile: Si la femme a vu le sang pendant une période inférieure à quinze jours et alors qu'il a dépassé sa durée habituelle, toute cette période est comptée comme menstrues. Il lui est interdit de faire une purification des ḥadath et un jeûne. [14] Étymologiquement et lexicalement  le terme ghâ’iṭ désigne le lieu où l’on fait ses besoins et, par métonymie, les excréments, ce qui signifie que ne sont pas ainsi englobées les urines, contrairement à ce que l’Islam statue. Le minimum des menstrues est d'un jour et une nuit, c'est-à-dire que le minimum des menstrues est ce qui dure un jour et une nuit, c'est-à-dire vingt-quatre heures. Il lui est un devoir de le rattraper. Le rapport pendant la période des menstrues ou des lochies que ce soit avec ce qui empêche le contact direct ou sans ce qui empêche le contact direct est interdit. La faiblesse de l’argument indique en soi que le sens attribué à junub ne repose que sur un arbitraire orienté. Il n'est pas permis à son époux de jouir de la zone comprise entre son nombril et ses genoux sauf par dessus ce qui empêche le contact direct. Cheikh al-Islam Ibn Taïmiya a dit : « Il n y a pas de textes clairs et vrais pour interdir à la femme en période de sa … Même si pour l’Islam la pureté est l’état originel de toutes choses, il n’en demeure pas moins certain que le Droit musulman a intégré à la religion la notion d’impureté qui, nous le constaterons, n’est en rien coranique. Les ablutions selon le Coran et en Islam. Carole and Jerome are 20 and go on tour in Odessa, behind the Iron Curtain. La position phallocrate dominante trahit donc à cette occasion une intervention directe de la part des hommes sur le lexique en fonction de leur conception de la sexualité. C'est par exemple le cas où elle a eu un écoulement pendant cinq jours en continu qui s'est ensuite arrêté. C’est ici le cas, et il suffit pour s’en convaincre de lire ce passage que les doctes rabbins ont inscrit noir sur blanc dans la Thora: « Quand une femme aura un flux, un flux de sang dans sa chair, elle sera sept jours dans son impureté. Le Coran donne donc pour synonyme de la forme iṭṭahhara en S5.V6 le verbe ightasala en S4.V43 lequel signifie sans équivoque lexicale possible se laver avec application, se nettoyer. Éloignez- vous donc des femmes pendant les menstrues, et ne les approchez que quand elles sont pures. Toutefois, l’on déduit de cette particularité et de la qualification d’indisposition/adhâ des menstrues que si une femme ayant ses règles est affaiblie ou que son état de santé en est affecté elle peut alors considérer qu’il s’agit là d’une maladie et donc reporter son jeûne en « des jours autres », S2.V184-185. Autant de restrictions et interdictions visant la femme menstruée que l’on retrouve à la lettre dans le judaïsme en sa misogynie la plus assumée qu’il soit. Les menstrues et les lochies sont des écoulements de sang qui surviennent chez la femme. Devient interdit par les menstrues et par les lochies ce qui est interdit suite à la janâbah – le rapport sexuel ou l’émission de maniyy –. Verified account Protected Tweets @; Suggested users La tricherie. S’il y a bien une chose partagée par ces trois religions, c’est la misogynie patriarcale. Le jeûne également est interdit pour la femme qui a les menstrues et pour celle qui a les lochies. Le jeûne et la prière sont interdits pour la femme qui a ses menstrues d'après la parole « jeûne et prie » et il y a idjmê' (consensus) des savants sur ce point. [11] Si l’on reste dans les limites véritables de la langue arabe préislamique, le syntagme coranique in kuntu junuban est un euphémisme signifiant mot à mot « quand vous êtes sur le coté, ou le flanc » et évoquant prudemment l’idée de s’être retiré à la fin d’un rapport sexuel et d’être alors couché sur le flanc, d’où notre « après un rapport » que l’aurait pu aussi rendre par « après vous être retirés ». Religious Organization يَا أَيُّهَا الَّذِينَ آَمَنُوا لَا تَقْرَبُوا الصَّلَاةَ وَأَنْتُمْ سُكَارَى حَتَّى تَعْلَمُوا مَا تَقُولُونَ وَلَا جُنُبًا إِلَّا عَابِرِي سَبِيلٍ حَتَّى تَغْتَسِلُوا وَإِنْ كُنْتُمْ مَرْضَى أَوْ عَلَى سَفَرٍ أَوْ جَاءَ أَحَدٌ مِنْكُمْ مِنَ الْغَائِطِ أَوْ لَامَسْتُمُ النِّسَاءَ فَلَمْ تَجِدُوا مَاءً فَتَيَمَّمُوا صَعِيدًا طَيِّبًا فَامْسَحُوا بِوُجُوهِكُمْ وَأَيْدِيكُمْ إِنَّ اللَّهَ كَانَ عَفُوًّا غَفُورًا. Il lui est également interdit de traverser une mosquée lorsqu'elle craint de la salir c'est-à-dire de rentrer d'un côté pour en sortir de l'autre, et ceci, lorsqu'elle craint qu'il descende d'elle du sang jusqu'à terre. Pour ce faire, il a été à nouveau dévié le sens de la racine ṭahara/yathurna et de la forme V iṭṭahhara/taṭahharna à qui l’on a attribué pour la première le sens de « être pures » et pour la seconde le sens de « se purifier ». D’évidence, s’agissant du Livre principiel/umm al–kitâb, ici dit « Livre bien gardé/maknûn » et ailleurs une « Table préservée/lawḥ maḥfûẓ,[19] dont est issue la « récitation/qur’ân » de par « une révélation »,  les « Purifiés/al–mutahharûn » en question ne sont pas les Hommes mais des créatures d’un autre plan de réalité que l’Exégèse assimile sans preuve aux Anges. L’on notera de plus que l’emploi de l’expression euphémistique « après un rapport/junuban » construite sur l’emploi du terme junuban indique dans ce contexte le moment où le couple vient d’achever son rapport sexuel et permet de comprendre que ledit lavage est à réaliser dans les suites immédiates de ce rapport. Salam j'ai 15 ans et demi. Le Messager de Allâh صلى الله عليه وسلّم a dit: « مَنْ يُرِد اللهُ به خَيْرًا يُفَقِّهْهُ في الدِّينِ إِنمَّا العِلْمُ بالتَّعَلُّمِ والْفِقْهُ بالتَّفَقُّهِ », ce qui signifie: « Celui pour qui Allâh veut le bien, Il lui facilite l’apprentissage de la religion. Il se trouve qu’il n’existe qu’un seul verset coranique mentionnant la menstruation. Ainsi, si la femme ayant ses menstrues jeûne ou prie durant cette période, son jeûne & sa prière ne seront pas acceptés car le Prophète ( Sur Lui Paix & Salut ) leur a interdit de faire cela et l'interdiction indique l'absence de validité ( de l'oeuvre ); au contraire, elle sera par conséquente désobeissante envers Allah et son Messager ( Sur Lui Paix & Salut ). – Le segment qui pour l’Islam concerne directement la notion d’impureté est le suivant : « et, après un rapport, nettoyez-vous.» La traduction standard exprime la surinterprétation défendue par l’Islam : « et si vous êtes pollués « junub », alors purifiez-vous (par un bain) », et d’autres traductions sont encore plus explicites : « si vous êtes en état d’impureté majeure légale/junub, procédez alors à une purification (rituelle totale)  ». Google has many special features to help you find exactly what you're looking for. Le plus souvent, l'écoulement dure quarante jours. Dans le hadith, il est déclaré : (La femme en état de règles ne peut pas pratiquer la salat [namaz=prière rituelle] .) Il y a des choses qui lui sont interdites en plus de celles qui sont interdites à la personne en état d'impureté. [1] Voir : 5– Le halâl selon le Coran et en Islam et 6– Le halal : l’abattage rituel selon le Coran et en Islam. Quant aux lochies (an-nifâs), c'est le sang qui sort du vagin de la femme à la suite de l'accouchement. – Concernant l’impureté des excrétions, le segment référent est en lien avec les ablutions et la conduite à tenir en cas de rapports sexuels. L'islam efface tout ce qui précède. La ribâ, le prêt à intérêt et l’usure sont-ils “haram” selon le Coran et en Islam ? Est-ce un état intrinsèque ou une simple construction religieuse, voire une édiction coranique ? pendant les règles ». Or, quelles que soient les significations du terme-clef adhâ : mal, dommage, tort, d’où notre « indisposition », aucune n’évoque la notion d’impureté. Ce paradigme coranique a donc nécessairement des implications directes en matière de pratiques rituelles : a- Les menstrues et le jeûne. La plus longue période (accepté comme menstruation) est de 15 jours. [13] Que l’Islam ait voulu forcer ces versets du Coran pour instituer après les rapports sexuels la pratique d’un bain rituel de tout le corps dit ghusl est donc sans lien avec la demande coranique consistant à cette occasion de se nettoyer, simple mesure d’hygiène, position logique que l’on retrouve du reste au sujet « du lieu d’aisance ». Ce verset justifie la pratique du Mikvé, bassin d’eau courante dans lequel l’on s’immerge entièrement afin de se purifier. En revanche, si le mari la divorce, le divorce est effectif. Tout comme pour les versets précédents, l’Exégèse a interprété ce verset dans le sens qu’elle désirait, à savoir : les menstrues sont impures et entraînent un état d’impureté nécessitant une purification, croyance archaïque directement là encore empruntée au judaïsme. – Il n’y a donc aucune preuve coranique justifiant de ce qu’une femme ayant ses menstrues, ou d’une femme et d’un homme après des rapports, ne pourraient toucher le Coran ou séjourner dans une mosquée pour cause d’impureté. Si l'écoulement reprend, dans la limite de la période des menstrues, il s'avère que ses actes d'adoration ont été faits dans une période de menstrues. Beaucoup de filles qui n’ont pas encore connu leurs périodes (menstrues), ou qui viennent tout juste de l’expérimenter sont soit, mal préparées, soit, mal informées à ce sujet. Puis, s'il dure moins qu'un jour et une nuit, elle rattrape ce qu'elle a abandonné comme jeûne et prière. Il est interdit de coucher avec une femme en état de menstruation en vertu des propos d’Allah, le Puissant, le Majestueux : Et ils t' interrogent sur la menstruation des femmes. Les femmes enceintes. La notion de bain de purification rituelle/ghusl de tout le corps destiné à se purifier n’est donc pas coranique. Invité. Si un homme couche avec elle et que l’impureté de la femme vienne sur lui, il sera impur pendant sept jours, et tout lit sur lequel il couchera sera impur. Cette page est créé uniquement pour apporter la lumière du Christ au coeur de l'islam La femme en état de menstruations peut allaiter son bébé sans se laver la poitrine. 2-Le jeûne. Selon le Coran, purification et donc pureté ne s’entendent qu’au sens figuré et, présentement, la preuve en est donnée par la pratique du tayammum, fonction symbolique de substitution quant aux ablutions, cf. Au nom de quel principe d’inégalité[4] le Coran soutiendrait-il une telle thèse ? Le cas de l’impureté de la femme ayant ses menstruations est particulièrement important dans le judaïsme ancien et, alors que le christianisme se libérera en apparence de cette conception,[2] l’Islam la reprendra à son compte. Sans doute faut-il voir là la subsistance d’anciennes craintes, le sang représentant la vie, sa perte évoquant la mort et, dans le cas des règles, l’impureté attribuée à ce sang repose de plus sur une archaïque peur de ce phénomène cyclique inexpliqué. [9] Cf. Pendant les menstrues, il lui est donc interdit de faire le wouḍoÅ«'. Il faut dire que limpact sur notre corps et notre caractère est effectivement tel quil peut, si on ne fait pas … L’analyse littérale des versets mis en jeu par l’Islam pour soutenir sa croyance foncière en l’état d’impureté et, juridiquement, celle d’impureté légale, aura montré que ces concepts ne sont pas coraniques. En vérité, le vin, la divination, les bétyles et les flèches sacrées ne sont qu’une infamie/rijs, œuvre du Shaytân, alors évitez-le/ijtanibû-hu ! Cheikh al-islam dit dans Majmou al-fatawa (25/234) : « Nous mentionnons la raison (justifiant l’interdiction du jeûne à la femme qui est dans son cycle) et soutenons que cette disposition est conforme au raisonnement par analogie : la Charia est parfaitement équitable ; les excès culturels constituent une iniquité interdite par le Législateur. Pour mémoire, nous avions démontré que pour le Coran ces “interdits” étaient très précisément des tabous et qu’il ne fournissait donc pas d’explication justificative de cette tabouisation. Comprendre la Parole de Dieu au-delà des paroles des hommes est un long chemin. Celles qui ont les menstrues pour la première fois. – L’on soulignera toutefois une unique exception à ce point de vue coranique, mais ce sans qu’aucune notion d’impureté ne soit mise en jeu, puisqu’il a été précisé que l’on ne pouvait prier qu’après s’être nettoyé les parties souillées après un rapport sexuel que ce soit physiquement avec de l’eau ou de la terre. Il est interdit de dissimuler le défaut d’un autre lorsqu’on le sait. Les lochies, c’est le sang qui survient après l’accouchement. Ainsi, si junub avait eu quelque chance de pourvoir qualifier quelque chose d’impur il aurait fallu que ce soit les secrétions sexuelles tant masculines que féminines ! Le moi bénie du ramadan pour connaître l'islam, Conakry. L’approche coranique est donc basée sur une compréhension saine de ce phénomène et non sur l’ensemble des croyances et superstitions que la tradition populaire avait rattachées à ce mécanisme physiologique incompris. Les pratiques qui pourraient nuire à l’un des époux, selon l’avis des spécialistes, en l’occurrence ici les médecins. Ce qui les laisse ignorantes quant à ce qu’il faut faire ou s’attendre une fois qu’elles surviennent. Et que l'élévation en degré et la préservation de sa communauté de ce qu'il craint pour elle soient accordées à notre maître Mouḥammad Al-'Amîn, l'Honnête, celui qui a appelé à la religion de vérité, l'Islam la religion de tous les Prophètes du premier 'Adam au dernier Mouḥammad. DHIKR et menstrues « le: Août 04, 2009, 14:00:28 » Share Modifier: salam aleikoum wa … Le premier, celui adopté par de grands savants comme Ibn Hazm, Daoud adh-dhahiri, Ibn Taymiya, Ibn Qayoum … Question 1 : Si la femme est purifiée de ses menstrues, juste après l’aube (fajr), doit-elle jeûner ce jour là ? 16 - Les règles relatives aux menstrues et aux lochies Publié par convertistoislam - l'islam pour tous sur 30 Juin 2020, 12:46pm Autant de restrictions et interdictions visant la femme menstruée que l’on retrouve à la lettre dans le judaïsme en sa misogynie la plus assumée qu’il soit. La femme qui a les menstrues ou les lochies, il ne lui est pas permis de faire le wouḍoÅ«' parce que le wouḍoÅ«' n'est pas valable de sa part. Curieusement, la traduction standard confirme tous ces points, mais ajoute en note que si « ce sont les Anges qui sont seuls autorisés à le toucher en se basant sur ce verset, le Musulman ne peut toucher la copie du Coran que s’il est en état de pureté »,  l’argument est aussi péremptoire qu’improbable ! Dans ce cas elle observe les préceptes liés aux menstrues pendant la période équivalente à la durée habituelle de son cycle menstruel normal, puis elle se lave et fait ses prières. Il ne s’agit pas là de la purification d’une impureté, mais d’une simple mesure d’hygiène fort compréhensible. – L’analyse littérale de S2.V222 en s’appuyant sur les avancées lexicales et exégétiques mises en avant aux versets précédemment cités a démontré que pour le Coran les menstrues ne sont en aucune manière une impureté, mais une simple gène physiologique. Si donc le Coran avait dû décréter que les menstrues étaient une impureté, c’est en cette réponse qu’il l’aurait fait et ce n’est manifestement pas le cas. Le plus souvent, elles durent six ou sept jours. Du fait de ces tabous et interdictions est ainsi instituée une dysmétrie cultuelle entre l’homme et la femme, situation entérinée par ce propos bien connu, en substance : « la femme est en religion inférieure à l’homme du fait qu’elle ne prie ni ne jeûne durant ses règles ». Il lui est un devoir de le rattraper. - D'autre part encore, l'arrêt de l'écoulement est connu de la manière suivante : si elle introduit du coton dans son vagin, il ressort blanc. Les menstrues, c'est le sang qui sort du vagin de la femme sans que ce soit à titre de maladie ni suite à un accouchement. La théorie de l’involution selon le Coran – S2.V213, La bataille de Badr, entre mythe et réalité, La législation coranique selon le Coran et en Islam, La Jizya et les dhimmî selon le Coran et en Islam, Le témoignage de la femme selon le Coran et en Islam. C'est à dire la prière, les sept tours rituels autour de la Ka`bah, porter ou toucher le Qour'ân, la lecture du Qour'ân, rester dans une mosquée, le jeûne avant l'arrêt de l'écoulement du sang et de permettre à son mari de jouir de … Âyat al–kursî – Le verset du Trône doit-il descendre de son piédestal ? 30. Hormis ces trois interdits, toutes les pratiques sont originellement permises par la sharî`ah. Ceci est confirmé par l’analyse des segments relatifs aux ablutions montrant que si on ne peut réaliser ce nettoyage à ce moment-là faute d’eau, il faudra le faire avec de la terre ou autres lavages secs. c'est-à-dire qu'il ne lui est pas permis de faire le wouḍoÅ«'. Il lui sera ordonné de rattrapé le jeûne seulement et il n'y a pas eu de péché pour le rapport qui a eu lieu pendant l'arrêt de l'écoulement puisqu'on s'est basé sur l'apparence. In the evening, they part company and the group meet clandestinely refuseniks, … Voir : Plus d’Explication sur les menstrues (les règles) et les lochies. (2/222) Cela concerne les rapports sexuels, non les caresses. Ceci confirme donc que le verbe iṭṭahhara ne signifie pas pour le Coran se purifier ou, pire, « prendre un bain rituel », comme le risque ici la traduction standard, mais tout simplement se nettoyer. - Islamiates Plus fondamentalement, le fait même qu’une femme puisse être à un moment donné de sa vie considérée en état d’impureté laisse malgré tout à penser qu’elle serait alors impure. Le mal : l’Homme, le Diable ou les Djinns ? Elles ont une durée minimum et une durée maximum. » Certes, Dieu aime ceux qui se repentent et Il aime ceux qui se purifient/al–muṭahhirîn. Ainsi il a été rapporté dans le ḥadÄ«th á¹£aḥīḥ que le Messager de Allāh récitait le Qour’ân en ayant la tête appuyé sur le corps de `A’ichah alors qu’elle avait les menstrues, de même il a été rapporté dans le ḥadÄ«th á¹£aḥīḥ que `A’ichah lui peignait les cheveux alors qu’elle avait les menstrues et le Messager de Allāh á¹£alla l-Lâhou `alayhi wa sallam était dans la mosquée et lui penchait sa tête sans quitter la mosquée car la maison de `A’ichah est collée à la mosquée, elle est séparée de la mosquée par un mur fin ; les deux ḥadÄ«th ont été rapporté par Al-Boukhâriyy. Aussi, avions-nous déjà observé à propos du jeûne que le Coran ne mentionnait pas le cas des règles et que rien n’interdisait de jeûner en cette situation. Ihre Meinung zu: Corona-Beschränkungen: Reisen wird noch schwieriger Um die Ausbreitung mutierter Coronaviren einzudämmen, wird das Reisen weiter eingeschränkt: Die USA erlassen Quarantäne-Auflagen, Frankreich verschärft die Testpflicht und auf EU-Ebene wird über eine Reihe von Maßnahmen nachgedacht.
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