De plus, pendant que vous êtes occupé, même inconsciemment, à penser « bon sang, qu’est-ce que son écriture est agréable / pénible… », vous établissez, que vous le vouliez ou non, une certaine forme de distance, que ce soit en terme d’empathie ressentie pour les personnages ou d’immersion dans l’univers et / ou l’intrigue. Pour les Rois du Monde je trouve ça assez différent de toutes les fantasy celtiques que j’ai pu lire avant, pour le coup c’est même le truc le plus proche de tout ce que j’ai pu apprendre sur le sujet… mais j’attends qu’au moins tout le tome 2 sorte dans son intégralité pour poursuivre. Je trouve cette position moralisatrice et j’adhère à l’univers proposé et totalement crédible. Si seulement je pouvais écrire comme cela ! Ma culture heroic fantaysy francaise est très faible, j ai seulement lu le Haut Royaume de P.Pevel qui fait aussi l objet de commentaires ici (l’auteur pas cette série là)). anglo-saxon. Pas de beaucoup, mais il l’est. Remarquons au passage que voir un système politique qui n’est pas une monarchie en Fantasy est fort agréable, et que même si le très gros de l’inspiration est italien, il y a quelques touches espagnoles également (les alguazil, par exemple, ou même le nom de la ville, qui fait plus ibérique qu’italien). Bref, un peu de sérieux : même sans parler du caractère explicite ou sombre de la chose, une Fantasy Historique inspirée essentiellement par les intrigues de Cour italiennes de la Renaissance ne peut tout simplement pas faire l’impasse sur le coup de dague dans le dos, le poison, les manigances et j’en passe, ce serait complètement irréaliste. Il est magistralement écrit oui, mais en terme de souffle, c’est très inégal et si je ne regrette absolument pas cette lecture, qui a été un moment de plaisir, ce n’est pas la révélation. Ce qui est par contre à double-tranchant est la persistance avec laquelle l’auteur va lui en faire baver, la plupart du temps sans Deus ex Machina venant bien commodément le tirer d’affaire. C'est même pour ça que j'ai autant attendu pour la lire. Merci pour cette critique en tout cas et tout le travail que tu restitues sur ce site, inestimable pour un lecteur de fantasy. Il est d’ailleurs bien agréable de voir, pour une fois, un Nécromant avec un rôle non stéréotypé et intéressant ! Mais même si Hitler n’avait pas fait la guerre à la Russie, Pearl Harbor aurait eu lieu parce que les Japonais prenaient leurs décisions sans consulter l’Allemagne. Après beaucoup apprécié le premier tome de l’adaptation en BD du roman Gagner la guerre de Jean-Philippe Jaworski par Frédéric Genêt, je suis déçu par ce second tome. GENÈVE/LONDRES/NEW YORK – Pendant que le monde se mobilise pour remporter la bataille contre le COVID-19, nous ne devons pas oublier que nous menons toujours une guerre contre les décès évitables d'enfants et de mères – une guerre que les dirigeants mondiaux se sont engagés à gagner d'ici 2030. Toi qui aimes Kay, la précision quasi documentaire de certains aspects de l’histoire devraient, je pense, parfaitement te convenir ! Il était impossible d’espérer gagner cette guerre. Je fais parti des rares à ne pas apprécié ce roman, pour moi le style est tres bien mais ne fais pas tout. Je suis persuadé qu’à l’avenir, au cours de tes prochaines lectures, les figures de Benvenuto, de Sassanos ou du Podestat, voire de Ciudalia, se rappelleront insidieusement à ton souvenir, car ce sont des peintures si marquantes qu’elles ne quittent pas aisément le lecteur. Tous l'univers Gagner la guerre à la fnac : découvrez tous les produits, les actus et les avis. D’ailleurs, j’ai fait, au cours de ma lecture, certains parallèles avec Kay, notamment dans une certaine nonchalance dans la narration, l’importance donnée à l’art dans l’intrigue et le soin extrême apporté aux personnages, puisque même ceux de troisième plan ont une âme, ne sont pas des pantins. Mais laissez-moi vous expliquer pourquoi et comment j’en suis venu à cette conclusion. Gagner la guerre tome 2 est l’un des incontournables de la … Des premiers hommes aux luttes anti-terroristes actuelles, nous avons évolués à travers les conflits qui nous opposent les uns aux autres. Le roman a reçu le prix Imaginales du meilleur roman français de fantasy en 2009. Et du coup, moi qui n’avais pas prévu de lire Rois du monde, me voilà bien embêté 😀, Ouais, j’ai fait exprès pour t’embrouiller 😀. Du moins de mon point de vue (vaguement) divergent, que, dans mon outrecuidance, je m’autorise à avoir, non mais ! J’attendais vraiment cette critique avec impatience! J’ai bien aimé la truculence de notre ami Benvenuto. J’ajoute : quand bien même relire du Jaworski n’est pas ta priorité, prends le temps de lire la relativement courte nouvelle Mauvaise Donne dans le recueil Juana Vera. Gagner la Guerre donc est un roman de fantasy qui fait indirectement suite au recueil de nouvelles Janua Vera du même auteur, et qui compose avec lui le Récit du Vieux Royaume. Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter: Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. N’est-ce pas le principal? Il y a quelques longueurs c’est vrai mais c’est du très bon. Avec ce livre, je me retrouve dans une situation inhabituelle. On l’encense ou on le déteste, mais tous sont d’accord sur la surpuissance de son art de tourner ses phrases, de son emploi d’un fort beau langage. Des milliers de livres avec la livraison chez vous en 1 jour ou en magasin avec -5% de réduction . sur la même longueur (et ça fait plaisir (écrit en 2013) : « J’ai trouvé le livre un peu long. il est dans ma PAL depuis un certain temps… tu me donnes bien envie de l’en sortir ! Mais l’écriture est bien. Je placerai Chloé Chevalier et Stefan Platteau devant Jaworski, rien que chez les moutons. Comme une Camorr ou une Lankhmar, elle devient ainsi un acteur à part entière de l’histoire. Jaworski a tout simplement trop de style pour son propre bien : la plupart des gens ne voient que ça, oubliant à la fois les qualités et les défauts (et il y en a) qui constituent les autres aspects de son écriture. L’auteur s’est perdu et se regarde ecrire, c’est dommage. Et je dois dire que je suis contente! The A(pophis)-Files – épisode 2 : le vaisseau spatial – véhicule, symbole, décor, élément d’intrigue… personnage ! Ma note: 16/20. On y retrouve Benvenuto Gesufal, assassin de son état et membre de la Guilde des Chuchoteurs. Toutefois, je reste convaincu que la suite nous réservera de belles émotions. Jaworski a énormément lu d’articles scientifiques, de livres, fait du travail de terrain, pour travailler l’aspect historique de son oeuvre. Belle critique, nuancée qui me donne envie de me lancer dans ce bon pavé (quand je trouverai le bon créneau). J’ai déjà de plus en plus de mal à supporter les trilogies, alors le fait qu’elles débordent me démotive encore plus ! Gagner la guerre en est une pièce maîtresse, et le monde de Ciudalia s'est vu développé par l'auteur dans différents ouvrages. La cité-république de Ciudalia vient de remporter une bataille navale décisive contre le Royaume de Ressine. Mais rien ne les empêchera de lire le premier tome par la suite, lorsqu’ils auront été conquis par la force, le suspense, le dépaysement, les intrigues et la magie de ce tome 2. Gagner la guerre de Jean-Philippe Jaworski – L'épaule d'Orion, Gagner la guerre, de Jean-Philippe Jaworski : ma critique en retard (d’une guerre) – Journal d'un Curieux, Gagner la Guerre – Jean-Philippe Jaworski | Les Lectures de Xapur, Fantasy non-médiévale / d’inspiration extra-européenne / aux thématiques sociétales | Le culte d'Apophis, La marche du Levant – Léafar Izen | Le culte d'Apophis, Follow Le culte d'Apophis on WordPress.com, Un souvenir nommé empire – Arkady Martine, Dans la boucle temporelle – itérations 12-13 : Décembre 2016 – Janvier 2017, Fantasy apocalyptique / post-apocalyptique, Comprendre les littératures de l'imaginaire. je trouve le style un peu différent et peu trop « gras » par moment et certaines parties pas vraiment utiles, voire ennuyeuses. Pierre Préaud et Agnès Bazin, en charge de ce sujet à la Fédération nationale des courses hippiques, en détaillent les grands axes. Avis très fouillé et construit… pas d’emoticons apparemment alors que c’est mon moyen de communication préféré alors on va dire que je mets un « thumbs up ». Avertissez-moi par e-mail des nouveaux articles. Finalement, je ne suis guère déçue par ta critique. Le temps faisant son oeuvre, puisque je l’ai lu un certain moment déjà, et les impressions du moment laissant la place aux impressions durables, ce livre a fini par se glisser dans mon panthéon personnel, aux côtés d’œuvres comme Dune, Hypérion, etc…, pas moins que ça ! Entièrement d’accord avec toi, comme souvent, même si je n’avais encore jamais posté pour te le dire. Je l ‘ai lu comme on boit une bière bien fraiche en été. En comparaison, puisque celle-ci s’impose, parmi les critiques que je faisais des Salauds Gentilshommes il y avait l’uniformité du langage à travers les strates de la société qui n’est pas crédible. Le world building est effectivement tres interessant, celtique certes mais Gaulois surtout ce qui est original. MONTRÉAL - Le virus du sida finit par remporter une véritable «guerre d’usure» contre le système immunitaire, mais des travaux réalisés à l’Institut national de la recherche scientifique (INRS) pourraient éventuellement changer la donne, a appris La Presse Canadienne en primeur. Après la mort de son co-consul, celui-ci à mené la République seul, en précisant qu’il ne conserverait le pouvoir que jusqu’à la fin de la crise, le rendant alors au Sénat afin que soient organisées des élections en bonne et due forme. Je tiens à ajouter que je n’ai pas ressenti les longueurs, ni la moindre difficulté pour m’immerger. Personnellement, j’ai lu Même pas Mort pour le moment, et vraiment je trouve que c’est très différent de toutes les œuvres d’inspiration celtique qu’on peut trouver, de par l’ambiance et surtout, le côté « autobiographique » du récit. Gagner la Guerre - Tome 2 - Le Royaume de RessineGagner la Guerre - Tome 2 - Le Royaume de RessineFrench | CBR | 52 pages | 30.9 MBveuillez signaler tous les liens mots. Pour terminer sur ce chapitre, il ne faut surtout pas oublier ce qui est peut-être le plus important des personnages : la ville elle-même. Du coup je lis et apprécie les textes de Monsieur Jaworski, mais n’en suis pas un inconditionnel. Attention toutefois, l’auteur a gardé l’esprit de Venise sans forcément en conserver la lettre : de ce point de vue, la Camorr de Lynch est plus proche de leur modèle commun, car Ciudalia n’a pas de canaux. Je crois que Gagner la guerre est le seul livre que je déteste. Jamais lu cet auteur, ça sera une découverte totale. Bref, on regarde l’arbre, pas la forêt derrière. Après, ma foi, l’exotisme me plaît aussi. On y retrouve Benvenuto Gesufal, assassin de son état et membre de la Guilde des Chuchoteurs. D’autant plus qu’il me semble que certaines des nouvelles nous montrent le passé de Benvenuto ou des deux gros-bras Ouromans de Sassanos. Un mot pour la résumer un minimum (pas plus, sinon le spoiler sera vite inévitable) : Benvenuto Gesufal, ancien soldat, vaurien dans l’âme, joueur impénitent, assassin d’élite de la Guilde des Chuchoteurs, maître espion, épéiste de grande classe, est aussi un conseiller privé du Podestat Ducatore. D’où, également, le fait que Gagner la guerre ne soit pas estampillé (roman) Culte d’Apophis : il y a, pour moi, trop de défauts… rédhibitoires est sans doute trop fort, alors disons plutôt qui entraînent chez moi un inconfort, pour que je lui accorde la distinction suprême. Alors attention, ne me faites pas dire ce que je n’ai jamais déclaré, il y a aussi (et surtout, en fait) des points tout à fait formidables dans l’écriture de Jaworski, au-delà du style : le worldbuilding (particulièrement l’aspect géopolitique, mais aussi des créations comme Bourg-Preux et sa Nainerie) est extrêmement solide, les dialogues sont formidables, l’auteur sait créer des scènes d’envergure ou haletantes (pleines de dramaturgie, de tension ou de flamboyance), l’intrigue principale est très intéressante et d’une facture remarquable, les personnages (y compris ceux de troisième plan) sont vivants et très bien caractérisés, les codes des différents sous-genres abordés sont à la fois parfaitement maîtrisés et combinés avec brio, les combats sont magistralement décrits, et l’ambiance est envoûtante. Je dois faire partie des 5% qui n’ont pas (encore) lu ce livre ! Jean-Philippe Jaworski met sur pied un système plutôt solide, jouant à un jeu d’ombre et de lumière avec le lecteur en en dévoilant assez pour être pertinent tout en laissant une part de mystère ma foi pas désagréable (pas de ce « ta gueule, c’est magique ! (Les longueurs inutiles surtout m’ont refroidie, sa tire a la ligne a coup de blabla, blablabla ! Gagner la guerre dépasse de la tête et des épaules la plupart des romans de fantasy français, mais le style, les longueurs et en effet la place des femmes créent un certain malaise pour ma part. Améliorer votre processus de recrutement au Luxembourg. Pour ceux qui concernent le Vieux Royaume, oui, sans aucun doute (bien que je n’en ferai pas vraiment une priorité). Une fois encore, je suis d’accord avec toi sur le travail de l’éditeur qui mériterait un peu d’allégement pour le bien du roman et des autres romans. Devant autant à la sainte trinité (Essence / Channeling / Mentalism) de Rolemaster qu’à l’Hermétisme médiéval, à l’imagination pure qu’à une tradition ésotérique bien réelle, ce paradigme arcane charme et impressionne tout à la fois : magie basse, haute ou vive, des rêves, des miroirs ou des éléments (celle des Tempestaires), Nécromancie, il y en a pour tous les goûts. (Tu connais mon avis sur ce roman, je fais partie de ceux qui hurlent sans complexe au génie.). Enfin, il faut préciser que le roman approche des 700 pages. L’intrigue est envoûtante, prenante, le style de narration (dans le sens : construction du récit) fait que la frontière entre simple folklore et véritable magie est constamment brouillée, laissant le lecteur aussi pantois que les personnages sur certains événements. Avertissez-moi par e-mail des nouveaux commentaires. Nous sommes dans un monde imaginaire fortement inspiré de la renaissance italienne. Cela ne m’a personnellement pas semblé franchement raccord avec la finesse générale de l’intrigue (dans les deux sens du terme) développée. Il s’agit d’un mélange de Fantasy Historique (variante : dans un monde secondaire, mais très inspiré par une époque / région / civilisation précise du nôtre), de son sous-genre la Swashbuckling Fantasy ( = de cape et d’épée), de Fantasy politique (les deux variantes : intrigues intra- et inter-royaumes), de Fantasy de crapules (c’est ce qu’est le protagoniste, à la base) et peut-être surtout de Dark Fantasy (que ce soit au niveau de la complexité de la palette morale et psychologique des personnages, du côté explicite de la chose ou de sa noirceur omniprésente, bien que pas dépourvue non plus d’une certaine flamboyance). Changer ), Vous commentez à l’aide de votre compte Google. On reconnaît au moins quelques éléments d’inspiration dans ces pays, que ce soit via leur nom, le physique de leurs habitants ou leurs différences culturelles avec Ciudalia : il est, par exemple, tentant d’assimiler l’Ouromagne aux terres germaniques, et de voir dans la Marche Franche une éventuelle Savoie, Suisse ou Franche-Comté. Couverture de Gagner la Guerre des éditions Les Moutons Électriques, Publié aux éditions Les moutons électriques, en 2009, Gagner la Guerre de Jean-Philippe Jaworski décape tant il fait preuve d’originalité tout en maniant un style que l’on n’espérait plus trouver aujourd’hui, tant il ne répond plus aux critères de rentabilité.Â. Maintenant, pour ce qui est de Rois du monde (vous savez, la trilogie en 5 volumes  😀 ), la réponse sera probablement non. Ce que tu me dis à propos de Rois du monde est très intéressant, et du coup je vais reconsidérer la question. Et pourtant rassurez-vous, arrivé au bout de l’ouvrage…On est plus qu’heureux du voyage entrepris. Voir plus d'idées sur le thème caligraphie, police d'écriture, lettrine. Outre nos différences d’opinion, ton avis est très construit et c’est chouette. J’ai, à titre personnel, un autre problème : je trouve franchement réducteur de qualifier un auteur de génie littéraire juste parce qu’il a une maîtrise très élevée du vocabulaire et qu’il sait forger un texte élégant. La narration est écrite à la première personne, et c’est indubitablement la grande force du roman. Ce qui m’a surtout impressionné, c’est sa capacité à se maintenir en-deçà de la limite de l’abscons dans 90 % du roman, tout en employant un niveau de langage particulièrement élevé (que ce soit dans l’élégance ou l’argotique / l’outrancier). Je pense, au vu de ton ressenti, que tu as raison de ne pas te lancer dans ce qui faillit être une trilogie 😉, N’empêche que les cycles qui ont failli être une trilogie sont pratiquement devenus la norme ces derniers temps 😀. Des lors je me dis que je suis difficile. Je ne suis, notamment, pas persuadé que si l’auteur était anglo-saxon, certaines critiques auraient été aussi dithyrambiques (ou aurait plus parlé de solide premier roman et d’auteur prometteur que d’autre chose). Avec la reconnaissance des USA de la Marocanite de son Sahara le Maroc s’est libéré de cette pression diplomatique qui bloque son élan. Et c’est d’autant plus intéressant que le protagoniste va douter pratiquement jusqu’au bout des personnes qui cherchent à obtenir sa confiance, tant la plupart des puissants qu’il sert, auxquels il est associé ou opposé jouent un double, voire un triple jeu. Les Etats-Unis ne pouvaient pas gagner la guerre. Et là, c’était vraiment trop limite. Gagner la guerre C’est avoir un business plan équitable avec les pays Africains l’exemple du mega projet du gazoduc continental entre le Maroc et le Nigeria en est l’exemple. Ce qui nous frappe d’abord, c’est la verve qu’use Jaworski pour son antihéros, mêlant astucieusement familiarités soutenues, voire vieillottes, avec de jolies envolées stylistiques, notamment lors des descriptions. Dans un registre connexe, j’ai beaucoup apprécié que l’auteur nous évite une religion pseudo-chrétienne et propose plutôt un panthéon à quatre dieux, même si certaines institutions (les Chevaliers du Sacre, par exemple) évoquent leurs équivalents médiévaux réels. L’histoire n’est pas en reste. La fin… ah mes amis, quelle conclusion ! Bref, Jaworski est un écrivain globalement très solide (particulièrement par rapport à ses petits camarades francophones), et c’est déjà pas mal. Et maintenant j’ai hâte de découvrir la trilogie de Lynch, que des promos numériques inopinées ont fait glisser dans ma PAL. Vu que vous êtes plusieurs à me parler de Janua Vera, je viens de l’insérer dans le programme : il sera donc lu en Mai prochain. Si vous lisez sur Kindle, vous pouvez également soutenir le blog en vous inscrivant pour un essai gratuit de l’abonnement Kindle, via ce lien, et si vous audiolisez, vous pouvez aider le Culte en essayant gratuitement Audible via ce lien. Bonne lecture ! Il traversera des moments fort déplaisants, et à son (premier) retour dans la République, aura une fort mauvaise surprise, avant d’entamer une cavale éprouvante et d’ourdir une sanglante vengeance…. Les ficelles sont occasionnellement bien grosses…. Il a plus qu’à moitié accepté de laisser Sassanos lui laver le cerveau… Ducatore s’il est très intelligent fait néanmoins des erreurs d’appréciation et son mépris des femmes en est une. En un mot, c’est génial. J’ai hâte du coup de lire la suite et d’attaquer réellement l’adaptation de Gagner la Guerre puisqu’il ne s’agit au final que de l’introduction à l’histoire. C’est un joueur de jeu de rôle et maitre de jeu et cela se voit dans ses écrits. Je suis un peu étonné que tu n’aies pas apprécié le passage en argot des voleurs chez le marchant de tissus. Je reste cependant adepte de l’auteur et continu ma lecture avec plaisir. Spécifiquement, ce n’est pas l’auteur qui dit « après tout vous n’êtes qu’une femme », c’est Leonide Ducatore, et ce faisant il montre qu’il n’a pas compris ce que Benvenuto lui disait sur sa fille – il n’a vu en elle ET NE VOIT TOUJOURS EN ELLE qu’un pion, pas une personne, alors qu’il voit son fils Belisario ou son neveu Cesarino comme des personnes. Personnellement je tiens Gagner la Guerre pour le meilleur roman d’heroic fantasy français et un des meilleurs romans d’heroic fantasy tout court ( il est vrai qu’il y en a peu je juge bons ou simplement lisibles ). Ah ben si en plus tu le possèdes déjà, là, tu n’as plus d’excuse 😀. Nous voilà maintenant dans le coeur de Gagner la guerre (le tome 1 étant tiré de Janua Vera).Benvenuto est parti pour le royaume de Ressine pour négocier avec le Shah. Quelle n’a donc pas été leur surprise lorsque le groupe de Thrash Metal Californien a rejoint les musiciens classiques sur scène, avant d’entamer des morceaux tel que celui que j’ai mis en illustration musicale ! Je trouve cette auteur loin derrière J.P.J dans beaucoup de domaine. D’un côté, c’est rafraîchissant dans un contexte Fantasy ; mais d’un autre côté, ça devient vaguement abusif, voire ridicule, à la longue. Je suis par ailleurs en train de lire la  » trilogie en 5 volumes » :), sur nos Celtes. ( Déconnexion /  Quand un spécialiste aussi éminent que Georges-Henri Soutou publie un nouvel ouvrage, il est indispensable de s'y attarder. Mais la composante manquante ici, c’est cette énorme pression de l'opinion publique anti-guerre. Cette entrée a été publiée le mardi 28 mai 2013 à 16:43 et taguée, Voir tous les articles par Fabrizio Tribuzio-Bugatti, Ministère de la magie contre souveraineté nationale, La violence sexuelle dans les Contes de fées. De plus, comme on l’a déjà dit, le style de Jaworski rend la lecture si agréable que l’on perd toute notion du temps. Et ce n’était pas une vaine attente : une fois de plus je suis impressionné par la minutie et la justesse de tes observations. Voir Benvenuto dans la position du parangon de vertu, du modèle moral est tout simplement un trait de génie ! Pour Gagner la guerre, je dirais que Jaworski s’en est vraiment tiré de façon magistrale, car de l’esprit à la lettre, il a très bien su retranscrire cet univers. Ping : Fantasy non-médiévale / d’inspiration extra-européenne / aux thématiques sociétales | Le culte d'Apophis, Ping : La marche du Levant – Léafar Izen | Le culte d'Apophis, Ping : Gagner la guerre – Fourbis & Têtologie. Je suis assez frustrée par le nombre d’éléments qui restent dans l’ombre également. A Ciudalia, on passe du langage courtois, à l’argot, à l’outrancier. Blabla, blabla…… C’est bon j’arrete , je ne vais pas vous faire ressentir ce que j’ai ressenti en lisant ce livre non plus.) C’est clair ! En Mai 2018, paraissait Ciudalia, le premier tome de l’adaptation en BD par Frédéric Genêt du roman de fantasy Gagner la guerre de Jean-Philippe Jaworski. La trilogie en 12 volumes sur les celtes est aussi très bien. Avertissez-moi par e-mail des nouveaux commentaires. C’est un bon moyen de rentrer dans le récit, d’ailleurs je conseillerai de commencer par Mauvaise Donne ou par la BD, histoire de lire tout ça dans l’ordre. Nous devons faire preuve d'une unité de but et travailler collectivement pour mener et gagner la guerre contre le COVID-19. Ah, si, en y repensant : j’ai été un poil dérangé par la réaction de Benvenuto, que j’appréciais particulièrement, auprès de la Clarissima. Les personnages sont travaillés, le world-building est très solide -même si, comme toi, j’ai une pointe de regret à l’idée qu’un auteur de cette qualité n’aille pas explorer des territoires un peu moins arpentés, sans forcément aller aussi loin que chez nos voisins Aztèques ou maliens : la Lituanie, la Hongrie, les Daces, Illyriens, byzantins, Raguse, le Gotland, ou les juifs, lombards, gitans de notre bonne vieille Europe…- La description des duels à l’épée, de l’environnement du personnage, tout fait qu’on a l’impression de plonger dans une fresque colorée, mais surtout vivante. On ne le regrette jamais. Il a obtenu de ta part un 4/5 et une chronique constructive! Gagner la Guerre Pack BD Editeur de la Série : Gagner la Guerre Titre : Gagner la Guerre (Étui Tomes 1 & 2) Paru le 12 Février 2021 Dessin : Frédéric Genêt Scénario : Frédéric Genêt Genre : Historique Public : Ados-Adultes Editeur : LE LOMBARD Collection : HORS COLLECTION (LE LOMBARD) EAN : 3701167165676 Prix public : 19,90 € Ce qui différencie ces livres, c’est la façon dont ce contexte très particulier, avec ses intrigues de Cour et ses assassinats politiques, son atmosphère très spéciale et son raffinement extrême, est rendu : cela va du niveau « carton-pâte » (cycle L’archipel des Numinées, par Charlotte Bousquet) à l' »Hollywoodien mais finalement pas si mal » (Lynch), en passant évidemment par Kay et sa précision relevant quasiment d’un vrai roman Historique. Gagner la guerre, Tome 2, Gagner la guerre - Le Royaume de Ressine, Jean-Philippe Jaworski, Frédéric Genêt, Frédéric Genêt, Le Lombard Eds. Dans le même univers, Janua Vera est exceptionnel, et le sentiment du fer est tout sauf exceptionnel (je suis le seul à le penser je crois). Mais je me suis résigné ! Si je poste ce n’est pas pour dire cela, c’est parce que je relève je crois une et une seule erreur d’interprétation dans cette critique, concernant le rôle des femmes – j’admets qu’il est mince mais ce sont les sociétés évoquées qui veulent ça, pour atteindre un degré de contrôle sur sa destinée il y faut qu’une femme soit connaisse la magie soit profite de circonstances très favorables, une haute naissance étant aussi fort utile – deux femmes de pouvoir même si on ne les voit pas agir: la Rose Sublime et la duchesse Audéarde de Bromael.
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