Rodchenkov s'en sortira-t-il? À la mort de son père, un jeune homme se rapproche de l'amant de celui-ci, principal bénéficiaire de l'assurance-vie du défunt. Parmi elles, la New-Yorkaise Alexandria Ocasio-Cortez dont le charisme emporte tout le film avec lui tellement la jeune femme crève l'écran. Pourtant, après un choc à la tête, sa vie prend des airs de romances à l'eau de rose hollywoodienne. Si la suite de péripéties rentre dans les canons d'une comédie romantique très classique, on saura gré à Éléonore Pourriat de ne pas totalement effacer son questionnement politique face à la bonne conduite de son récit. How It Ends (David M. Rosenthal, 2018, 1h53). Le film n'en propose pas moins quelques séquences vraiment impressionnantes qui ne sont pas sans rappeler le plus réussi Cloverfield. Dear ex (Mag Hsu et Hsu Chih-yen, 2019, 1h40). Même s'il faut bien avouer que le film signé Ben Howling et Yolanda Ramke s'apparente au plus faible des trois, la faute à une caractérisation très flottante des personnages et de l'environnement dans lequel ils évoluent. Le film plonge de manière douloureuse et austère dans les mystères de la foi, la part de doute qu'elle comporte, prônant une tolérance accrue envers ceux qui souffrent d'une lecture rigide des textes. Réalisateur du film de zombies Dernier Train pour Busan, remarqué en sélection officielle à Cannes en 2016, Yeon Sang-Ho revient avec un film qui en est presque le contrepied. Focus on laptop batteries, adapters and other accessories, 11 years of experience, 80 countries, worthy of trust! Ce film catastrophe sud-coréen commence comme une virulente charge politique contre le nucléaire dans un climat post-Fukushima. Dans une des scènes les plus fortes du film, les membres de la commission d'approbation de mise en vente d'une procédure qui se révèlera potentiellement néfaste s'interrogent sur ce qu'il se passerait si, dix années après leur autorisation, on venait leur dire qu'il y avait de graves effets secondaires. Tellement dommage. Au risque de distordre la réalité. On en attendait pas tant. Robert Redford, Jane Fonda. Cette chronique familiale, filmée dans un noir et blanc splendide, est inspirée par la propre adolescence du réalisateur dans le Mexique des années 1970 mais centrée sur les femmes de sa vie : sa gouvernante et sa mère. S'ensuivent trois heures d'interviews sur ceux qui ont inspiré le musicien, qui en appelleront d'autres les jours suivants. Sur cette trame fantastique, Oriol Paulo signe un drame existentiel espagnol prenant qui soigne ses rebondissements. Le guide spirituel y parle de l'importance de l'âme, de notre rapport à la mort, exhortant à choisir pleinement le camp de la vie. Spaces subscriptions include 1,024 GiB of outbound data transfer (from Spaces to the internet), which is shared between all Spaces. Laurent Sagalovitsch Une pelletée de neige et une grosse louche de bons sentiments. Des mois plus tard, une fois le traitement terminé, comment faire rire à nouveau quand le corps et l'esprit se remettent à peine? Pendant le vol, elle fait la rencontre d'un homme riche qui invite le couple sur son yacht. Les autres se souviendront longtemps de ce voyage à la recherche du temps perdu. Il ne s'agit pas de refaire l'histoire de cet arrêt historique de la Cour suprême qui légalisa l'avortement, mais au contraire de mettre en lumière la vaste opération de la droite conservatrice américaine pour parvenir à renverser la décision et en attendant à fragiliser toutes les possibilités offertes aux femmes d'avoir le choix. Nationaliste sans patrie, théoricien d'une étrange histoire de l'humanité – le zermatisme – remontant à l'île de Pâques et au Déluge, il fascina à compter des années 1970 une petite frange de l'underground californien qui aida à la reconnaissance de son travail artistique et de sa pensée. Une introduction plus incarnée qu'approfondie aux questions qui agitent encore la société aujourd'hui. Ce film d'animation autour d'une jeune fille qui emménage une énième fois avec sa mère dans une nouvelle maison, cette fois hantée par des gnomes se partage entre scènes d'action gentillettes et bons sentiments sur l'amitié et l'appartenance. On y mesure le courage et la détermination d'une féministe qui a su utiliser avec intelligence tous les moyens à sa disposition afin de permettre au combat pour l'égalité d'avancer. Sept personnes passent un test de dépistage du sida. La comédienne y joue une femme aguerrie confrontée à un robot mère en charge de la préservation de ce qui reste de l'espèce humaine. Inspiré en partie de la vie d'une vraie garde du corps, Jacquie Davis, Close se pose comme un honnête thriller réaliste (et parfois un peu trop attendu) porté par la performance de Noomi Rapace. Hot Girls Wanted (Jill Bauer & Ronna Gradus, 2015, 1h22). Ce récit des troubles politiques qui ont secoué l'Ukraine entre 2013 et 2014 autour de la question du rapprochement avec l'Union européenne se regarde comme un feuilleton. Le documentaire didactique aux illustrations soignées s'attache autant à sa vie parsemée de tragédies dans l'Amérique des années 1930 qu'à l'influence déterminante que sa musique a eu sur le blues et le rockn'n'roll bien des décennies après. Soit la création d'une banque souterraine destinée à financer les actions contre les nazis grâce à un ingénieux système de détournement de fonds légaux. Par ce côté un peu traumatisant de nous jouer «All That She Wants» de Ace of Base sur une dure scène de torture. Autre adaptation de Stephen King, 1922 ne réédite pas tout à fait la réussite du Jessie de Mike Flanagan. Un film tourné à l'iPhone et diffusé uniquement sur Netflix… Steven Soderbergh se tourne résolument vers l'avenir. Reste un casting international attachant qui, de Chris O'Dowd à Gugu Mbatha-Raw en passant par Roger Davies, maintient l'illusion le temps d'une longue exposition avant de laisser le film crouler sous ses paradoxes. La Princesse de Chicago raconte l'histoire d'une pâtissière américaine qui se retrouve inscrite à un grand concours culinaire en Belgravia et rencontre sur place son double, une comtesse promise au prince du royaume. Un biopic fin et sensible. En tout cas, Bushwick peine à emporter tout à fait l'adhésion. Mis en ligne le jour de la Saint-Valentin, L'Amour au mètre carré n'est pas tout à fait de ce calibre-là. Un film aussi engagé que touchant sur un sujet auquel Netflix a su donner depuis quelques années un large écho. Sur place, rien ne se passera comme prévu, au grand dam de ces gardiens de la paix bien éloignée de leur patrie. Spike Lee filme ici le long monologue de l'acteur Roger Guenver Smith (Do The Right Thing, Summer of Sam, American Gangster...) autour de la vie de cet Afro-Américain à l'origine des émeutes de Los Angeles en 1992 après l'acquittement des policiers qui l'avaient battu aux yeux du monde. Dommage que très vite, le film de Dan Gilroy peine à déranger davantage sa narration très programmatique, balançant sans cesse entre premier et deuxième degré sans clairement choisir son camp. Tiempo Compartido (Sebastian Hofmann, 2018, 1h36). Étrange film que cet A.X.L. S'il rappelle bien entendu le rôle clé qu'a joué le New-yorkais dans le mouvement de popularisation du hip-hop, le film s'attarde surtout les mystérieuses circonstances de sa mort – Jam Master Jay fut tué par balle dans un studio d'enregistrement – et tente de déconstruire les différentes pistes criminelles envisagées. Peu après la rupture, elle se remémore leur histoire passée et tente de se consoler avec l'aide de ses deux meilleures amies. The Open House (Matt Angel et Suzanne Coote, 2018, 1h34). Amateur défend ainsi un plaisir du jeu qui résonne bien au-délà des terrains. Et si l'on a tendance à associer avancées techniques et progrès, le domaine de la santé exige quelques précautions qui ne sont pas respectées. E-Team (Katy Chevigny & Ross Kauffman, 2014, 1h29), Une plongée fascinante dans le quotidien des enquêteurs de Human Rights Watch, en Syrie notamment pour documenter les crimes d'Assad, mais aussi en Libye. If you cancel your subscription by destroying all your Spaces, your bill will be prorated hourly. Le reste devrait peu vous surprendre. Trop peu, trop tard, malheureusement. Il est même étonnant que la plateforme ait été devancée en la matière sur le terrain de la comédie romantique par Love, Simon, attendu ici dans les salles le 27 juin prochain. Compositeur novateur mêlant des influences jazz et pop, il ouvrira de nombreuses portes aux musiciens afro-américains jusqu'à produire les albums solo qui feront de Michael Jackson la plus grande star de la fin des années 1980. Les Chroniques de Noël (Clay Kaytis, 2018, 1h44). Ce documentaire se penche sur la crise politique qui oppose les partisans d'une Catalogne indépendante et le pouvoir central, avec un très fort raidissement des positions depuis un peu plus d'un an. Ceph is also compatible with a large subset of the S3 RESTful API, which allows you to use many familiar tools and commands. Si le film n'est pas exempt de clichés, il donne corps avec vigueur au conflit de son héroïne tiraillé entre le confort de son milieu et une soudaine soif de liberté. On suit ainsi les aventures de la sérieuse Jamilah qui afin d'obtenir une lettre de recommandation pour Harvard doit coacher une bande de filles, blanches à une exception, plus connues pour leur goût de la fête que leurs performances sportives. Tony Robbins: I Am Not Your Guru (Joe Berlinger, 2016, 1h56). Au contraire même. S'il manque d'un poil de démesure, ce film espagnol sur les affres de la création se regarde avec plaisir de bout en bout, dessinant en creux une galerie de personnages réussies sur fond de crise. Le scénario est tellement poussif que quand on croit être arrivé à la fin, on est en réalité seulement à la moitié du film. Quitte parfois à se faire complice de ce même trafic. Alex Strangelove (Craig Johnson, 2018, 1h40). Sorti sur Netflix le même jour que le documentaire Tony Robbins, sur un sujet proche mais avec un point de vue beaucoup plus mordant, Rebirth tente de venir marcher sur les plates-bandes de David Fincher période The Game/Fight Club. Bonne surprise que ce film d'horreur britannique autour d'une escapade en forêt qui tourne mal. Cette comédie musicale britannique chantée non dansée, au cast attachant, bénéficie d'une bande son réussie mêlant ballades amoureuses et excursions soul ou hip-hop. Plaisant et l'occasion de voir Grace Van Patten dans ses œuvres en attendant de la retrouver dans The Meyerowitz Stories, signé Noah Baumbach. Sauf que comme hypnotisé par la fascination exercée par son objet, le film ne tient pas son sujet retombant très vite dans une reconstitution historique de ses évasions puis de son procès en Floride, de manière très fidèle à en juger aux images d'archives du générique. Lointain cousin du Sex crimes de John McNaughton post Metoo et post Get Out, The Perfection se délecte de son scénario retors autour de l'attraction/répulsion de deux prodiges de la musique classique. Un vieil homme ayant gagné une fortune au loto emmène ses filles et ses gendres en croisière sur un paquebot de l'Espagne à l'Amérique du Sud. In the API, list-objects-v2 pagination does not work. Voir la bande-annonce Le film de Stuart Sender fait le récit tragique du Miami Showband, groupe star du tournant des années 1970, meurtri par l'assassinat de plusieurs de ses membres à un contrôle routier en juillet 1975. Curb your Enthusiasm, rien que ça. Un exemple inspirant de résilience autant qu'un appel à la communauté internationale à ne plus détourner le regard sur cette situation dramatique. Ce troisième et dernier volet conclut de manière solide cette adaptation anime de Godzilla. Et in fine du pouvoir des artistes, dont le message et la passion sont plus forts que les entités qui les financent. Dans un premier temps, écrasés par la gêne, il s'ouvrent peu à peu et commencent à échanger sur leur vie. Victime d'un coup d'État, le leader de la Corée du Nord s'enfuit en Corée du Sud accompagné d'un simple agent de sécurité en charge de sa protection et de sa famille. Un autre dans un fond plus grave où il est question de deuil, de viol, d'épreuves qui pèsent sur les personnages sans jamais à chercher à les victimiser. Cette déclinaison sur le motif de La Malediction en mode humoristique démarre de manière très plaisante. Cette comédie espagnole sympathique se penche sur les mésaventures d'un DRH peu scrupuleux qui tente de mettre fin à ses jours après être devenu la risée de tout le pays à la suite d'une malencontreuse vidéo postée sur YouTube. Se pose alors la question de savoir comment annoncer la nouvelle (ou pas) à sa famille en Chine, dont certains ignorent encore son homosexualité. Si Bridget Everett tient ici un deuxième rôle particulièrement savoureux, la suite de péripéties ne tient pas tout à fait ses promesses. Si At Eternity's Gate n'est pas exempt de maladresses ne serait-ce que dans son étrange gestion des langues mêlant anglais et français au gré des scènes ou dans ses échanges un brin artificiel avec Paul Gauguin, le film, servi par un casting trois étoiles autour de Willem Defoe à nouveau impeccable, développe une imagerie poétique en mouvement qui donne à voir presque de l'intérieur le travail et les visions du peintre. En France, on a eu le film de Yann L'Hénoret Les Coulisses d'une victoire sur la campagne Macron vécue de l'intérieur. Quelle juste distance trouver avec sa maladie? Voir la bande-annonce Ce petit film hédoniste sur de jeunes adultes se rendant à un festival de techno aux États-Unis a l'ambition de faire vivre l'événement de l'intérieur. Au grand dam des parents. Additional outbound transfer is $0.01/GiB. Sauf qu'après avoir échoué à l'examen d'entrée à l'université, il se décide à mentir sur ses résultats plutôt qu'à décevoir les espoirs placés en lui. Le documentaire qui tombe à pic. Space delete actions do not include the correct IP address that conducted the action in an account's security history. Soit l'histoire de cinq enfants confrontés à un esprit maléfique qui hante un orphelinat. L'occasion de louer les États-Unis comme terre d'accueil et de liberté en contrepoint à la politique défendue par Donald Trump, implicitement visé ici mais jamais explicitement attaqué. Dédié aux victimes de violence sexuelle, Firebrand s'attache à un personnage d'avocate qui défend avec brio le droit des femmes en cas de séparation, mais se retrouve rattrapée dans sa vie personnelle par le traumatisme d'un viol. L'alchimie entre Ali Wong et Randall Park, également co-scénaristes, fonctionne à plein malgré un scénario qui use aussi de certaines facilités. Uploading hundreds or thousands of files via cloud.digitalocean.com may not complete reliably. Un portrait habité sans flagornerie inutile. Lui-même a fait face aux mêmes épreuves en 1996 à Dunblane. Si ses séries sont largement commentées dans à peu près tous les médias, les films, eux, restent à quelques exceptions près –parfois spectaculaires comme Okja, sélectionné à Cannes et mis en ligne sur la plateforme fin juin 2017, The Cloverfield Paradox, disponible seulement quelques heures après la diffusion de sa première bande-annonce lors du Super Bowl 2018 ou Roma, Lion d'or à Venise, meilleur film étranger, meilleur directeur de la photographie et meilleur réalisateur aux Oscars – confidentiels. Sans compter une fin bâclé qui cherche une sortie par le vide. As a workaround, you can use the API to update the CDN certificate. Ou pas. Mais l'amour peut-il réellement surmonter une telle différence ? S'il ne déborde pas d'originalité, ce thriller espagnol tient plutôt bien sa trame de bout en bout. En 2015, l'activiste Rachel Dolezal, à la tête de de l’association nationale pour la promotion des gens de couleur à Spokane dans l’État de Washington, se retrouvait au cœur d'une controverse après que ses parents ont déclaré qu'elle était une femme blanche se faisant passer pour noire. Sommes nous prêt à révéler tous nos secrets? Une approche poétique et profondément humaine du film fantastique servie par une esthétique soignée, entre rêve et cauchemar. Les rapports intergénérationnels y sont touchants et tendres. Outlaw King - Le roi hors la loi (David Mackenzie, 2018, 2h01). Lettres de Dunblane : retour sur une fusillade (Kim A. Snyder, 2018, 0h23). Ce documentaire ouvertement militant retrace les liens qui ont uni depuis des décennies la consommation de cannabis et la musique noire américaine, jazz et rap en tête. You can use the API or delete fewer files at a time. Un poil dommage. Nouvelle déclinaison d'une trame classique du film d'action – une ancienne gangster est rattrapée par son passé quand ses ennemis kidnappent sa fille –, Furie se démarque par une exécution soignée et incarnée qui le place au-dessus d'un tas d'autres œuvres du genre. Le pitch donne une assez bonne idée d'à quoi s'attendre, blagues lourdes et graveleuses comprises. Ce biopic de 2Pac ressemble à ses pires moments à une suite de scènes comme tirées de la page Wikipedia du célèbre rappeur américain, suivant une lecture très politique des divers incidents qui ont émaillé sa courte carrière. We have temporarily disabled the creation of new Spaces in SGP1 while we update capacity in this region. Ce court métrage donne à entendre leur touchante correspondance et cette douloureuse quête d'un peu de lumière et d'apaisement face à l'adversité. Bel hommage au combat de l'exploratrice sous-marine Sylvia Earle pour la sauvegarde de notre environnement. Les Blessures de la médecine (Kirby Dick et Amy Ziering, 2018, 1h40). Malgré ses fragilités, c'est ce qui fait encore la valeur de ce cinéma-là. Les interrogations existentielles de notre héroïne sont racontées en voix off sur une succession d'images à la qualité presque par moments plus documentaire que purement esthétique. Each Space is a bucket for you to store and serve files. Mais pour eux, rien ne se passera comme prévu. Fort d'une atmosphère tendre et un peu rêveuse sans rien cacher du drame familial qui se noue autour d'une petite fille, le film donne à voir ses doutes, son impuissance, son amour envers son frère. La dignité de celles qui, aux abois, parviennent à préserver quelque chose de leur humanité. Plus globalement, le film au charme troublant questionne notre rapport à la vérité et à son exhibition. Netflix a acheté les droits à l'international de ce thriller coréen à la seule lecture du scénario. Brain on Fire (Gerard Barrett, 2018, 1h35). Voir la bande-annonce, Print The Legend (Luis Lopez & Clay Tweel, 2014, 1h39). The free, built-in Spaces CDN minimizes page load times, improves performance, and reduces bandwidth and infrastructure costs. The subscription includes 250 GiB of data storage (cumulative across all of your Spaces). Le film s'attarde notamment sur la personnalité complexe de Jackie Cochran, influente pionnière parmi les pionnières qui finit par prendre le parti des hommes, par calcul personnel et sans doute une pointe de jalousie, ne faisant pas partie des filles sélectionnées. Une série B indonésienne qui, malgré une bonne idée de départ, tire en longueur. Le documentaire alterne de nombreux extraits des home movies que ce chanteur à la carrière ratée tournait avec les siens et des scènes filmées par Lucy Cohen, quelques années après le drame. Naman le brahmane (Qaushiq Mukherjee, 2016, 1h35). Un homme s'arrange pour être envoyé sur une île où vivent reclus de dangereux criminels afin de venger sa famille. Le premier volet, La Planète des monstres, est sorti en salle à l'automne dernier au Japon. Cuando los angeles duermen (Gonzalo Bendala, 2018, 1h31). Inspiré d'une histoire vraie, Brain on Fire est le récit d'une lente descente aux enfers. Une brillante mise à distance critique de la réalité pour une affaire toujours irrésolue à ce jour. Ce film historique inspiré en partie de la vie de Paula Maxa, une actrice de grand guignol de l'Entre-deux-guerres à Paris mise à mort près de 30 000 fois sur scène, respire l'amour des séries B d'épouvante. Ce film péruvien joue de la même manière des insignes de la modernité pour tenter de twister un peu les codes de la comédie romantique. Aux côtés d'autres extraterrestres, ils errent dans l'espace à la recherche d'une nouvelle planète habitable. La enfermedad del domingo (Ramón Salazar, 2018, 1h53). Une ancienne gloire de la boxe mexicaine mène une vie paisible en Finlande. Sa vision était-elle sincère? Une nuit d'ivresse plus tard, les voilà tous les deux partis en croisière pour ce qui aurait dû être un voyage de lune de miel. –Allez, soyons fous (79 films) Sur une trame en apparence minimaliste –une femme (grande performance de Carla Gugino) est menottée à un lit quand son mari est subitement victime d'une crise cardiaque–, le film tient parfaitement la route entre exploration psychologique et suspense horrifique. Un entre-deux qui a plutôt tendance à affadir le propos plutôt que de le galvaniser. Difficile de ne pas penser à Blade Runner face à ce Berlin futuriste et nocturne et ce scénario de film noir. Côté américain, il faudra attendre 1983. C'est alors que les ennuis commencent mettant en péril tout ce qu'il a construit. S'il n'est pas tout à fait à la hauteur du puissant film de Bennett Miller avec Steve Carell, Mark Ruffalo et Channing Tatutm sur la même affaire, ce documentaire assez classique sur la forme passionne par la folie grandissante de son personnage –le milliardaire excentrique John Du Pont–, pris dans une spirale paranoïaque qui finit dans la violence. Ce nouveau (et décevant) volet de la trilogie de Noël de Netflix colle parfaitement au canon, soit l'histoire d'Ellen, jeune new-yorkaise frivole destinée à reprendre les rênes de l'entreprise familiale envoyée remettre une missive à son oncle dans la petite ville où tout a commencé. — 19 février 2021 — Temps de lecture : 2 min, Des cours de chant pour réapprendre à respirer après le Covid. Son ami est-il victime d'une malédiction ou lui-même est-il en train de devenir fou ? Il se lie alors avec ses nouveaux voisins et s'immisce peu à peu dans leur vie pour donner corps à ses personnages. Inspiré d'une histoire vraie, ce film mexicain retrace la folle épopée d'une équipe de football américain montée au sein même d'une des prisons les plus dures du pays pour participer à une ligue amateur. L'ensemble est touchant mais semble vite regagné par un certain clacissisme qui affadit légèrement le propos. Cette comédie légère qui suit quatre lycéens bien décidés à sauver leur établissement de la faillite se joue de ressorts très attendus. Plus que la dérive business d'un sport qui fait miroiter à de nombreux adolescents une porte de sortie vers la sécurité matérielle, c'est l'hypocrisie et le mensonge inhérent au système qui sont ici pris pour cible. Tous les coups sont permis dans cet intéressant drame coréen qui a tout de même le défaut de traîner en longueur. En fin de vie, quels choix adapter face à la mort? Malgré une mise en scène très soignée et la présence de Maika Monroe, l'actrice principale d'It Follows, on peine à s'intéresser aux mésaventures de notre héroïne et à ses échanges avec la machine qui manquent cruellement d'un véritable enjeu. L'ensemble un peu long malgré une mise en scène soignée aurait gagné à davantage de tension. Le lendemain, elle est pourtant bien là dans la maison alors que son fantôme hante ceux qui s'en sont pris à elle et réclament vengeance. Avec son nouveau film Zoe – distribué par Amazon Prime aux États-Unis, mais Netflix en France —, Drake Doremus adresse cette épineuse question à travers l'attachement naissant qui unit l'inventeur Cole (Ewan McGregor) à son premier prototype d'être synthétique évolué, Zoe (Lea Seydoux). La référence est là. Un drame prenant sur l'enfer de l'autre sous des dehors joliment grinçants et absurdes. Additional storage beyond this allotment is $0.02/GiB. Cette grande (et très longue) fresque revient sur un épisode de la guerre qui opposa les États-Unis aux Philippines au tournant du XXe siècle. Le film nous plonge au cœur d'une insurrection aussi subite que sanglante dans le quartier du même nom, situé à Brooklyn, à coups de longs plans séquences tournés caméra à l'épaule. Seulement voilà, elle ne confirmera par la suite pas tout à fait ses promesses échouant notamment par deux fois à briller à des Jeux olympiques qui lui semblaient promis. Une vision de ce qu'est une campagne politique approchée par la face intime, avec quelques scènes très fortes, comme ce presque soulagement de ses proches au moment de l'annonce de sa défaite. Ici, la réalisatrice Myriam Aziza s'attaque aux conservatismes en tous genres à travers l'histoire de Simone (convaincante Sarah Stern), une jeune femme issue d'une famille juive traditionnelle, en couple avec une autre femme depuis plusieurs années, qui cherche à faire son coming out auprès de ses parents. Les deux comparses décident alors de se lancer dans une dernière tournée. C'est à la fois la bénédiction et la limite d'un film qui grâce à sa formidable égérie parvient tout de même à redonner foi dans le politique. Belle surprise que cette comédie sur un agent à la retraite qui, envoyé dans une résidence pour personnes âgées, retrouve un humoriste qu'il avait lancé des années auparavant. L'imagerie, elle, fait la part belle à la communion de l'homme et la nature. Le journaliste remonte à l'origine de son histoire et en présente les détails les plus croustillants aidé de son personnage. Soit l'histoire d'Abbie (Gugu Mbatha-Raw, déjà aperçue dans Black Mirror ou The Cloverfield Paradox sur Netflix) qui, atteinte d'un cancer, décide de chercher sa future remplaçante auprès du gentil Sam (Michiel Huisman, aperçu dans Game of Thrones, sur HBO donc). C'est l'option plutôt réussie que prend cet Original Netflix espagnol autour d'une cellule de l'ETA en attente de mission, coincée dans un appartement le temps d'une Coupe du monde de foot ravivant la flamme nationaliste de la population. Mais peut-être n'est-il pas encore trop tard pour réparer cette malencontreuse bévue. Des histoires chinoises empreintes d'une forte nostalgie pour la jeunesse qui visent d'abord à reconnecter nos personnages au présent et aux êtres aimés qui les entourent. Les cinq meilleurs épisodes de «Dépêche», podcast décalé d'Arte Radio. La réalisatrice Isabel Coixet raconte ici dans un beau noir et blanc l'histoire, au tournant du XXe siècle, du premier mariage entre personne du même sexe en Espagne. Fin de partie : repenser la vie et la mort (Rob Epstein et Jeffrey Friedman, 2018, 0h40). Keanu Reeves fait lui aussi preuve de beaucoup de retenue dans le rôle du psy chargée de les ramener du côté de la vie. Sur ma peau (Alessio Cremonini, 2018, 1h40). Un film plein de bons sentiments mais pas gnangnan, qui trouve une juste distance pour parler de la maladie et emmène sur sa route une poignée de personnages secondaires attachants. Cette nouvelle adaptation en motion capture du livre de Rudyard Kipling se positionne sur un créneau plus adulte. Mitt (Greg Whiteley, 2015, 1h33). Après l'incident, l'attachement de Bob Marley à la Jamaïque fut bouleversé à tout jamais. –À ne pas manquer (29 films) Le début d'un long mystère qui mettra des années à être résolu. The Spaces CDN is available in all regions where Spaces are available. Jim et Andy offre alors une réflexion sur le pouvoir anarchique du rire, pointant en filigrane tout ce que le masque permet de libérer chez ceux qui le regardent et l'accompagnent dans une catharsis libératrice. Si le premier fil est joliment tenu, le second résulte en une suite de situations attendues et peu drôles qui entachent l'ensemble. comme au croisement de deux univers. Voilà la question à laquelle s'attelle avec beaucoup d'enthousiasme cette comédie remarquée à Sundance qui se détourne habilement de quelques poncifs pour dresser le portrait touchant et enlevé d'une jeune femme (Jessica Williams) résolument tournée vers la vie. Cette romance à l'italienne met en scène un jeune homme effrayé par sa paternité à venir qui va chercher des conseils en s'intéressant de plus près à la vie de son idole, le skateur Tony Hawk. La boxe, c'était mieux avant? Instead, choose the Bring your own certificate option to add custom wildcard certificates. Les acteurs et la mise en scène sont au diapason d'un premier essai convaincant. Autant de questions joliment effleurées. Peu de cinéastes parviennent comme lui à capter l'essence d'un mystère. Olivia Newman saisit bien ici la précarité de ses vies, le combat pour la survie qui prend ici un sens très littéral. Sur une plateforme où priment les effets de scénario, cette histoire de fantôme signée du fils d'Anthony Perkins tranche par la puissance de son esthétique qui vire presque à l'abstraction (et au vide). Et cette histoire d'un couple en plein doute le jour de l'anniversaire de ses trois ans revient sur tous les rails classiques du genre, à coups de quiproquos et renversements (attendus) de situation. Et si ce Un noël à El Camino s'éloigne des clichés qui collaient tant au premier, le résultat est peut-être ici encore moins réjouissant. Une culture unique. Le film superpose deux niveaux de fiction. Un message d'espoir engagé qui documente une libération de la parole et une volonté de se réapproprier son propre corps malgré la persistance d'une forte culture patriarcale. Un petit groupe d'astronautes va alors tout faire pour tenter de sauver la planète de ce sort fatal, la transformant en véritable engin spatial. Visuellement très réussi, ce film de science-fiction vient chasser sur les terres des plus modestes des super-héros, dans la lignée de Chronicle. Jenny se voit proposer le job de ses rêves à San Francisco. — 27 juin 2017 à 13h53. Prenant pour appui le procès intenté par Hulk Hogan à Gawker avec le soutien de Peter Thiel ainsi que la rhétorique anti-médias de Donald Trump et le rachat secret par une puissante famille locale d'un quotidien de Las Vegas, le documentaire de Brian Knappenberger pointe les menaces de plus en plus fortes qui pèsent sur la liberté de la presse aux États-Unis.
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